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Much has been written about perceptions of China in English and French literatures, but relatively little on Portuguese literature, in spite of Portugal's long association with the Far East and presence in Macau. While most of the existing scholarship has focused on the early period of Portuguese contact with China, Dr. Brookshaw's book concentrates specifically on the literature of the last one hundred years. The convulsive events of 11 September 2001 brought fears of a cataclysmic clash of civilizations, of races and of religions. The creeping homogenization of the global village, on Western
China --- In literature.
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Mario Puzo's The Godfather is an American pop phenomenon whose driving force is reflected not only in book sales and cable television movie marathons but also in such related works as the hit television series The Sopranos. In The Godfather and American Culture, Chris Messenger offers an important and comprehensive study of this classic work of popular fiction and its hold on the American imagination. As Messenger shows, the Corleones have indeed become "our gang," and we see our family business in America reflected in them. Examining The Godfather and its many incarnations within a variety of texts and contexts, Messenger also addresses Puzo's inconsistent affiliation with his Italian heritage, his denial of the multiethnic literary subject, and his decades-long struggle for respect as a writer in contemporary America. The study ultimately offers a way of looking at the much-maligned genre of popular or bestselling fiction itself. By placing both the novel and films within a number of revealing critical situations, Messenger addresses the continuing problem of how we talk about elite and popular fiction in America—and what we mean when we take sides.
Mafia in literature. --- Families in literature. --- Criminals in literature. --- Italian Americans in literature. --- Corleone family (Fictitious characters) --- Family in literature --- Puzo, Mario, --- Puzo, Mario --- Italian Americans in literature --- Criminals in literature --- Mafia in literature
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This is part of a new series of guides to contemporary novels. The aim of the series is to give readers accessible and informative introductions to some of the most popular, most acclaimed and most influential novels of recent years GÇô from GÇÿThe Remains of the DayGÇÖ to GÇÿWhite TeethGÇÖ. A team of contemporary fiction scholars from both sides of the Atlantic has been assembled to provide a thorough and readable analysis of each of the novels in question.
Serial murderers in literature. --- Violence in literature. --- Ellis, Bret Easton.
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Son histoire l'a prouvé, le roman tient à deux mondes divergents, qu'il met en lutte autant qu'il les rapproche : celui de la réalité et celui des fictions imaginées par ses personnages. Mais lorsque les rêves des personnages tendent à se confondre avec la réalité, le roman n'atteint-il pas les limites de son action? De cette frontière témoignent tout particulièrement les œuvres romanesques du XIXe siècle. De Balzac à Zola, de Flaubert à Proust, le personnage réaliste rêve des fictions toujours plus ténues qui lui font perdre ses contours et vont jusqu'à le rapprocher des figures de plus en plus abstraites exposées par la peinture de la même époque. Parvenu à ce point critique, le roman doit trouver les moyens de se poursuivre : passage fascinant, analysé ici par Isabelle Daunais à la lumière de ce qu'elle appelle une histoire interne du roman. A travers le roman réaliste, c'est ainsi l'œuvre générale du roman qu'elle éclaire sous un angle nouveau.
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En 1886, William-Little Hughes traduit le célèbre roman de Mark Twain, Adventures of Huckleberry Finn. Cette première traduction française, à travers les métamorphoses qu'elle fait subir au personnage de Jim et à sa parole, le Black English, constitue un renversement majeur de l'entreprise initiale de Twain. En effet, dans ce texte aux relents de colonialisme, Jim est confiné à un rôle de subalterne idiot, et Huck, à celui de maître blanc paternaliste et autoritaire. Toute traduction, quelle que soit sa visée, crée inévitablement des différences; telle est la nature intrinsèque de ce processus. À travers l'étude de sept traductions françaises du roman, Judith Lavoie montre que les déplacements opérés par les traducteurs ne sont ni le fruit du hasard, ni irréfléchis, mais peuvent être associés à un réseau organisé de choix esthétique et idéologique. Qu'il s'agisse de la version de Hughes, se situant aux antipodes du roman américain, ou de celle de Suzanne Nétillard (1948), qui réactive le message contestataire de l'original, toutes les traductions sont fondées sur un véritable projet et jettent un éclairage unique sur une œuvre fascinante. Judith Lavoie détient un doctorat en lettres et traduction de l'université McGill. Elle est actuellement professeure au Département de linguistique et de traduction de l'Université de Montréal. Elle a mérité, pour cet ouvrage à l'état de manuscrit, le prix Vinay-Darbelnet de l'Association canadienne de traductologie. Prix du Gouverneur général du Canada 2002 Prix Vinay-Darbelnet, 1999 (pour la thèse dont a été tiré le livre) Finaliste, Grand Prix du livre de Montréal, 2002.
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Les efforts de l'homme pour se procurer de la joie sont parfois dignes de l'attention du philosophe, écrit Victor Hugo dans L'Homme qui rit. Comme les autres romantiques, il fait pourtant peser un énorme soupçon sur le rire et sur la gaieté. Les rictus omniprésents sous sa plume et celle de ses contemporains appartiennent tant au sadisme qu'à la souffrance, tant au bourreau qu'à sa victime. Alors que notre époque se montre friande de bonne humeur, de fêtes, de festivals, Victor Hugo et ses contemporains des quatre coins de l'Europe jugent que la joie est mal à-propos, elle qui résonne au milieu des souffrances populaires. Il peut lui arriver de sourire ou de verser des larmes, mais le héros hugolien ne rit pas, sauf si on l'y oblige. Doit-on encore lire les romantiques aujourd'hui ? Oui, parce qu'ils nous rappellent qu'il faut résister à la dictature contemporaine de l'allégresse, du rire de force. Voilà pourquoi Rictus romantiques se termine par un " Eloge de la mauvaise humeur ".
Laughter in literature. --- Cheerfulness in literature. --- Sadness in literature. --- Hugo, Victor, --- Criticism and interpretation.
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